viernes, 26 de diciembre de 2008



















PENSANDO EN VOZ ALTA

Es el aquí, es el ahora, el hoy y el mañana un albur. Una incógnita y entretanto corre el tiempo. Tiempo de descuento. Un desconcierto es ese devenir del tiempo. Tiempo por venir, recuerdos el tiempo pasado. Mientras tanto un compás de espera, discurre lento como las horas, como un reloj de arena y nosotros con él caminamos entre soles y sombras. La esperanza presente casi siempre, más aún en los momentos aciagos.
En esta búsqueda afanosa, frenética, por descubrir el sueño dorado.
En qué lugar de la tierra, esta nuestro rayo de sol?
Cuál es mí espacio en el mundo?
Universos controvertidos, caminos sinuosos, interminables, laberintos del alma. Todo es vértigo, cada alborada algo inédito. Un milagro el despertar al nuevo día. En cada abrir y cerrar de ojos, los sueños se disparan y con el día descansan. La noche despierta los sueños y las pesadillas, el amanecer salva o condena
El antes y el ahora, un balance un infinito de mentiras y verdades, de hipocresía y sinceridad, de soledad y compañía. Un antagonismo, los opuestos siempre presentes es la bipolaridad humana, a la que no nos sustraemos.
La cotidianidad sacude, despeina, advierte que el aburrimiento puede ser mortal o el oasis fértil de la reflexión. Encontrarse con uno mismo, reconocerse.
Entre tanto la maldad o la bondad, nos pueden alcanzar.
Pero como es eso posible? Si todo lo que veo es bondad, todo es vida y milagro. Me cierro a la maldad humana y me refugio en el supremo, que es parte de mí y de vos.
Es preferible ser alcanzados por la benevolencia divina, que por la ira.
Somos imperfectos, concebidos en una matriz perfecta llamada Dios. Lo divino y lo agnóstico; lo bueno y lo malo, lo bello y el espanto, la noche y el día; y la más enorme enumeración de opuestos reside en nosotros.
Hay días que pensamos en Dios, como un ser abúlico, que nos observa imperturbable.
Cuanta tristeza, cuanta soledad, cuanta tragedia nos une. Pero también cuanta alegría, cuanta bondad y maravillas nos hermanan.
Escucho resonar mis pensamientos, los siento fluir como cascada.
Las palabras, las ideas caen como el agua y en ocasiones también caigo. Proyecto mis ojos, los del alma, en una amalgama de colores vividos. Disfruto de estos silencios del que nacen soliloquios. Noche a noche comulgo con un lenguaje que me encuentre, llena de fe. Pienso en el viento y con el viento, que finalmente queda en mí.
Recuerdo cuantas noches he caminado en sombras, en lluvias desconocidas.
Y me pliego a la dicha de un silencio lleno de formas y colores. Visiones de una creyente soñadora.
Pero no olvido las veces que he corrido desolada como un pájaro tras el viento. Cuantas veces como el Fénix resurjo, pensando: “Pobre corazón que se desangra como clepsidra trágica en silencio..."
Es que a la Clepsidra las húmedas palabras la conmueven, no hay tiempo; ya que el tiempo es un sueño prendido en la gubia del aire.
En el acaso sincero de un verso, sereno, cuando la tarde se enreda entre mis recuerdos, estoy sentada en pleno olvido de una descreída del ayer.
Silencio vendido entre la hojarasca y la simiente.
Todo lo que la vida esconde, todo lo que tañe, se me vuelve polvo, ceniza, barro, suciedad, que se adhiere a mis zapatos y me hace desear el beso de una noche interminable.
Mujer Clepsidra, soy, que sigue su tañido de agua.
La que lucha permanente, entre ese yo de desazón y mi yo más importante, el yo, que sólo sabe de esperanzas y de amor…


THINK ALOUDS

Is here, now, today and tomorrow a dace. One mystery is the time and in the meantime. Time off. A puzzling is that of time. Time to come, remember the last time. Meanwhile a bar waiting time goes slow, like an hourglass with him and we walked between suns and shadows. The hope is almost always present, even in dark moments.
In this quest enthusiasm, frantic, to discover the golden dream.
Where in the land, that our ray of sunshine?
What is my space in the world?
Universes controversial winding roads, endless mazes of the soul. Everything is vertigo, something every new dawn. A miracle awakening to the new day. On each snap, shoot and dreams of the day resting. The night awake dreams and nightmares, saves dawn or conviction
The before and now, an endless stock of truths and lies, hypocrisy and sincerity, solitude and company. Antagonism, the opposite is always present bipolarity human, to which we are not misappropriated.
Daily shakes, despeina warned that boredom can be fatal or fertile oasis of reflection. Find oneself, recognized.
Meanwhile the evil and goodness, we can achieve.
But as this is possible? If all we see is good, everything is life and miracles. I am close to human evil and I take refuge in the supreme, which is part of me and you.
It is preferable to be attained by the divine benevolence, that anger.
We are imperfect, designed in a perfect parent call God. The divine and the agnostic, good and evil, beauty and horror, night and day, and more huge list of opposites lies in us.
There are days when we think of God as a being abúlico, which is watching us unshakable.
How sad, how lonely, how much tragedy unites us. But how much joy and wonder how good we are sisters.
Resound hear my thoughts, I feel like flowing waterfall.
The words, ideas such as water falls and sometimes down. Draft my eyes, the soul, a mixture of vivid colors. I enjoy the silence of those who are born soliloquies. Night after night I agree with a language that I am full of faith. I think in the wind and the wind, which eventually left in me.
I remember many nights I've walked in shadows, in rain unknown.
And I said to the specifications of a silence full of shapes and colors. Visions of a dreamer believer.
But do not forget the times I've run like a bird desolate after the wind. As many times as the Phoenix resurgence, thinking: "Poor heart bleeds as clepsydra tragic silent ..."
Is that the wet Clepsidra the words the shock, there is no time, because time is a dream turned into the gouge from the air.
In one verse of it sincere, serene, when the evening becomes entangled in my memories, I sit in the middle of a forgotten descreída of yesteryear.
Silence sold the seeds and leaves.
Everything that life behind, everything that Tane, I returned dust, ash, mud, dirt, which adheres to my shoes and makes me want to kiss an endless night.
Women Clepsidra am, which is still ringing of water.
The ongoing fighting between me that I regret and my most important, I know that hope and love ...



PENSER À VOIX HAUTE

Est ici, maintenant, aujourd'hui et demain un dace. Un mystère est le temps et dans l'intervalle. Temps libre. Un curieux, c'est que de temps. Le temps à venir, se rappeler la dernière fois. Pendant ce temps, un bar le temps d'attente est lente, comme un sablier avec lui et nous nous sommes promenés entre les soleils et d'ombres. L'espoir est toujours présent, même dans les moments sombres.
Dans cette quête d'enthousiasme, frénétique, de découvrir le rêve doré.
Lorsque, dans la terre, que notre rayon de soleil?
Quelle est ma place dans le monde?
Universes controversée chemins sinueux, des labyrinthes sans fin de l'âme. Tout est vertige, quelque chose de chaque nouvelle aube. Un miracle l'éveil à la nouvelle journée. Sur chaque composant logiciel enfichable, de pousses et de rêves de la journée de repos. La nuit des rêves et des cauchemars éveillés, d'économiser l'aube ou de la condamnation
L'avant et maintenant, une grande stock de vérités et de mensonges, d'hypocrisie et de sincérité, de la solitude et de l'entreprise. Antagonism, le contraire est toujours présent la bipolarité de l'homme, à laquelle nous ne sommes pas détournés.
Daily-shakes, despeina averti que l'ennui peut être fatale ou fertile oasis de réflexion. Trouver soi-même, reconnu.
Pendant ce temps, le mal et le bien, nous pouvons réaliser.
Mais, comme cela est possible? Si tout ce que nous voyons est bon, tout est vie et des miracles. Je suis proche de la méchanceté humaine, et je prends refuge dans le suprême, qui fait partie de moi et vous.
Il est préférable d'être atteint que par la bienveillance divine, que la colère.
Nous sommes imparfaits, conçu dans un parfait parent appel de Dieu. Le divin et l'agnostique, le bien et le mal, la beauté et l'horreur, le jour et la nuit, et bien plus grand nombre d'oppositions se trouve en nous.
Il ya des jours où nous pensons à Dieu comme un être abúlico, qui nous regarde inébranlable.
Comment tristesse, de solitude comment, combien tragédie nous unit. Mais beaucoup de joie et de se demander comment nous sommes de bonnes sœurs.
Resound entendre mes pensées, je suis comme qui coule en cascade.
Les mots, les idées telles que des chutes d'eau, et parfois vers le bas. Le projet de mes yeux, l'âme, un mélange de couleurs vives. J'aime le silence de ceux qui sont nés soliloques. Nuit après nuit, je suis d'accord avec une langue que je suis plein de foi. Je pense que dans le vent et le vent, qui a finalement laissé en moi.
Je me souviens de nuits que j'ai parcouru dans l'ombre, dans la pluie inconnue.
Et j'ai dit à des spécifications d'un silence plein de formes et de couleurs. Visions d'un rêveur croyant.
Mais il ne faut pas oublier les moments que j'ai géré comme un oiseau de désolation après le vent. Autant de fois que la résurgence de Phoenix, en pensant: "Pauvre coeur saigne comme clepsydre tragique silence ..."
Est-ce que le mouillé Clepsidra les mots le choc, il n'ya pas de temps, parce que le temps est un rêve devenu la rainure de l'air.
Dans un verset du sincère, serein, quand la soirée devient empêtré dans mes souvenirs, je suis assis au milieu d'un descreída oublié d'antan.
Silence vendu les graines et les feuilles.
Tout ce que la vie derrière eux, tout ce qui Tane, je suis retourné la poussière, la cendre, boue, la saleté, qui adhère à ma place et me donne envie de baiser une nuit sans fin.
Clepsidra suis femme, qui est toujours de sonnerie de l'eau.
Les combats entre moi et que je regrette mon plus important, je sais que l'espoir et l'amour ...

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